Avec ce feu qui nous brûle, nous sommes tous des héros à notre manière, dans notre giron, avec notre ampleur. Les têtes encombrées de pensées peut-être tragiques comme heureuses. Parfois, au détour d'un chemin, on rencontre notre passé et on peut lui demander comment il va, il peut nous répondre. Je ne crois pas en la télépathie, par contre, je crois que les gens changent et que tout ceci peut parfois nous mener nulle part.
Je suis hanté par toutes ces couleurs, ces images qui me composent, comme autant de parcelles morcelées et recollées avec la glue extra-forte de ma passion. Sur quel pied dansera notre enfant à naître ? Celui que l'on s'imagine lorsque t'as les pieds en l'air après l'amour, parce que c'est comme ça que l'on fait les bébés il paraît. Celui qui s'appellera Caleb, celle qui s'appellera Calliopée. Quelle sera sa passion, sa crypte, son espoir le plus cher, son art ? Des questions qui se bousculent sans que je ne veuille y répondre : on a le temps pour ça, pour tout ça.
Des néons et de la joie, partout autour. Des mouvements fragmentaires et cycliques, des poésies que l'on ne saurait se dire au creux de l'oreille comme au creux des reins. C'est étrange les poèmes au creux des reins. On dansera, c'est sûr. On sera des héros à notre manière et ce sera rassurant, ce sera une jolie histoire comme cette musique dont on ne se sépare jamais, celle qui finalement interroge la vie dans toutes les directions, tous les sens possibles.
Un artefact pour passer l'hiver, pour passer l'été, pour passer le temps, car le temps ne nous fera rien alors qu'on sera comme des phares dans la tourmente. Il y en a tellement des chansons de ce genre. Mais l'on garde toujours quelques une pour se sentir plus fragile, mieux, en bon état, grandiose. Des chansons sur lesquelles dansent les enfants à naître. On garde le cap, et on hisse les voiles couleurs de minuit et demi / midi moins le quart.
Je suis hanté par toutes ces couleurs, ces images qui me composent, comme autant de parcelles morcelées et recollées avec la glue extra-forte de ma passion. Sur quel pied dansera notre enfant à naître ? Celui que l'on s'imagine lorsque t'as les pieds en l'air après l'amour, parce que c'est comme ça que l'on fait les bébés il paraît. Celui qui s'appellera Caleb, celle qui s'appellera Calliopée. Quelle sera sa passion, sa crypte, son espoir le plus cher, son art ? Des questions qui se bousculent sans que je ne veuille y répondre : on a le temps pour ça, pour tout ça.
Des néons et de la joie, partout autour. Des mouvements fragmentaires et cycliques, des poésies que l'on ne saurait se dire au creux de l'oreille comme au creux des reins. C'est étrange les poèmes au creux des reins. On dansera, c'est sûr. On sera des héros à notre manière et ce sera rassurant, ce sera une jolie histoire comme cette musique dont on ne se sépare jamais, celle qui finalement interroge la vie dans toutes les directions, tous les sens possibles.
Un artefact pour passer l'hiver, pour passer l'été, pour passer le temps, car le temps ne nous fera rien alors qu'on sera comme des phares dans la tourmente. Il y en a tellement des chansons de ce genre. Mais l'on garde toujours quelques une pour se sentir plus fragile, mieux, en bon état, grandiose. Des chansons sur lesquelles dansent les enfants à naître. On garde le cap, et on hisse les voiles couleurs de minuit et demi / midi moins le quart.