Des brûlures tellement géantes, des genêts en fleur (déjeuner en paix). Cet aller-retour qui m'inspire, vision inversée et envie de sexe, là, à force de voir que les filles se mettent à nue. Parler de la prochaine soirée, parler du speed qu'on a prévu de s'enfiler : se dire que l'on ne veut pas dormir arrangera pas nos affaires. En alerte, à fantasmer les minutes qui sautent au fur et à mesure : je reprends contact avec la vie. La terrasse est un point de repère dans ma fuite, et toujours ces mots que je trouve trop courts mais que j'arrête sèchement. Tout ceci est une question de philosophie et d'espace.

Commentaires

Can I kick it ?

Par scrivener le 22 juin 2013 // 18:58
Tu dis beaucoup de choses avec si peu ! Même si le monde que tu dépeins n'est pas le mien, depuis quelques mois que je te lis t'as réussi à créer quelque chose de bien tangible.
J'admire, j'admire :)
Par scrivener le 22 juin 2013 // 19:15
"Tangible" est peut-être pas le mot le plus adapté ... Je veux dire que tu crées un univers que j'arrive à me représenter, et qui ne paraît pas se limiter aux quelques phrases que tu nous envoies, quoi.
Quelque chose comme ça.
 

Can I kick it ?









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