Train de vie.

24 mai 2013 // 13:04

C'est un empilement ; tôle étole et pigeon vole
Plastique et bruit de la fureur
S'abîme là les coeurs gadjos —
Ca dérive dans ton mâle
Dans les regards des dents en or :
Dans les rires tonitruants de bleu.

Les guitares tournent
Fonds : poubelles, bouteilles, mer.
Village posé là parce que rien d'autre figuré au paysage ; sage.

Et ils appellent leurs mômes comme les enfants du soir,
Juin perpétuel jusque dans le froid de leur couverture.


// Je regarde le grand défilé abruti : soleil plus clair parce que le vent, le vent souvent.
Travelling dans train de banlieue : lions, fantômes, marasme. Puisque tout s'empile, je repense au moment éternel de bonheur que représente les parenthèses. Chaque pause me fait dire qu'un coeur qui bat, c'est le moment de gloire d'une mère malgré ses possibles failles. Les rampes d'accès ne facilitent pas notre dialogue pour autant, en paraphrase les barrières périphériques sans jamais (s')atteindre. //

Commentaires

Can I kick it ?

Aucun commentaire n'a encore été ajouté !
 

Can I kick it ?









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://windychildhood.cowblog.fr/trackback/3240043

 

<< Ici | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Ailleurs >>

Créer un podcast