19 mars 2013 // 16:11
Franchement va te faire foutre, rajoute de l'amour ; les cheveux mouillés, dehors, alors qu'il y a le vent. On sort de table, on se dessert, assisté d'amour et de stylo. On a faim, on a la rage, le ventre qui tangue, la vie qui plie. Déprimé, décérébré. Beaucoup de mots en trop ensuite. On va revenir, on va refaire quelque chose, un peu de joie et des caresses, plus que quelques instants avant d'être plus grands, penser à arrêter le débit de connerie, ne reste que le début, la naissance des images, et des terres sèches dans lesquelles on s'embourbe tout de même. Ici la boue n'a pas une très grande espérance de vie, même si ça pue. Botes de pluie dans des flaques de gras, c'est ainsi qu'on avance ? Les ritournelle ne guérissent pas grand chose ensuite : on se fait des chapitres, des grandes histoires et des moments malheureux. Vas-y qu'on va boire, et on se retrouve perdu après avoir désaoulé. Morceau caché sur la bande son de ma vie. A écouter Depeche Mode sans acide, je me retrouverais bien perdu dans les avenues d'une rue déserte. Tout ça c'est une histoire d'artères, de pulsation, de renoncement et de tarte en plein milieu de ta gueule de con? Vas-y, appuie sur repeat après ça, si jamais tu l'oses, salope.
Can I kick it ?
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