sans titre.

4 juin 2013 // 2:01

 Bien sûr que je pourrais avoir l'air heureux, d'ailleurs, je l'ai souvent cette gueule drôle de tout les jours. Puis tout part en couille, souvent, le jovial devient juste pathétique, du moins, pour moi, alors je juge que c'est pour tout le monde. Alors je veux être seul et pleurer. Mais il faut rester, dire que tout va bien, que l'on s'ennuie pas, et avoir envie. Vivre avec l'envie non assouvie, vivre. Problème de vivre. J'ai cartonné cette année : 17 coéficient six, le plus important. Je déchire tout. Ca ne m'apporte aucune satisfaction, la seule chose que je désire c'est d'être heureux mais le sourire ne vient pas, il ne s'étire pas sur mes lèvres, il ne reste rien. Je suis fier de moi, et puis je n'ai personne avec qui partager ce moment, alors j'ai juste un grand vide. Je regarde le temps passer. Je veux être heureux. Je veux être amoureux et qu'il n'y ait pas d'autres problèmes. Le temps passe comme les trains. Vivement le moment de passer à l'étape suivante. En attendant je regarde le vide,je suis complètement bourré, je ne riais plus dans cette fête que j'avais provoqué.

Commentaires

Can I kick it ?

Par topinambour le 4 juin 2013 // 9:20
Le bonheur t'attend sûrement à la prochaine gare...

"Les gens se perdent quand ils pensent que le bonheur est une destination. On pense toujours qu'un jour, on sera heureux, qu'on aura cette voiture ou ce travail ou que cette personne dans notre vie va tout régler. Mais le bonheur est un état d'esprit, et c'est une condition, et non une destination. C'est comme être fatigué ou avoir faim, c'est pas permanent. Ça vient, ça part, et c'est bien. Et je sens que si les gens avaient pensé de cette façon, ils auraient trouvé le bonheur beaucoup plus souvent."

ça vient d'une série à la con... mais c'est pas totalement faux...
Par topinambour le 4 juin 2013 // 9:57
Oh tu sais, ça dépend quel genre de verveine... :) Je ne doute pas que ça ira mieux dans peu de temps !
Par 0ct0pus le 4 juin 2013 // 12:56
Félicitations ! :) Moi je me ferai joie de fêter ta réussite.

Stoppe-toi, souffle un bon coup, sois fier de toi et repars. Au détour d'un wagon, derrière une porte coupe feu, accroché à un fenêtre, il y aura un sourire. Peut-être tordu par le sursaut des rails de chemin de fer, mais un sourire, et tu n'auras plus qu'à le prendre et l'accueillir.

Tout arrive à qui sait attendre, tu le sais. Même si parfois, on a l'impression d'attendre beaucoup.

Ma boîte mails est ouverte, au cas où. Je t'embrasse.
 

Can I kick it ?









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