La nuit, putain, je n'oublie presque rien.
5 mai 2013 // 13:49
Etreintes succinctes. Et je sais pas pourquoi, je dérouille comme ça parfois, à me poser des questions qui n'ont pas lieu d'être en boucle, comme s'il n'y avait que ça de vrai. Je voudrais me répondre que, me dire que, me stisfaire de. Mais y a rien qui raisonne, ça résonne trop : c'est facile à dire. J'y arrive pas comme ça, à juste profiter. Trop tendu Alexis, en flux tendu Alexis. A voir que le nombre de page n'augmente pas pour ce putain de mémoire, que le temps passe, qu'il faut s'y mettre mais que rien ne vient. J'ai envie de gueuler, être déjà après, au moment où l'avenir n'a rien à me réserver.
Can I kick it ?
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