Enfance venteuse (8)

1er avril 2013 // 11:20

 Comme ça au milieu du port, planté mon coeur, planté mon ardeur. Quand t'as ta main dans la mienne, tu sais que ça vibre ? Que ça bouge enfin pour moi dans ma tête. Parce que le surplace c'est fini, parce que la vie, qu'est ce qu'on en sait de la vie alors ? Mes fautes d'orthographes m'auront sans doute réussis comme mes textos pudiques mes intrusifs, moi qui n'ai jamais pensé plaire : "quand on rencontre un garçon comme ça, on le lâche pas." je pense à cette phrase, j'aurais jamais cru. Et puis dans mon cou les marques de mon bonheur me soulève pour la suite, et mon coeur pousse pour sortir. Je pense à toi, loin, près de moi. J'écoute les strokes, je suis redevenu le môme qui a les cheveux au vent, le môme qui se fait des histoires. Je veux ta main, le voyage, malgré le fait que fauchés, on ira pas loin. Je veux des verres, des discussions longues, je veux ton corps près du mien sur ma mezzanine, radeau nommé gentiment desirless. je vais bouger la tête, essayé de me fixer sur l'horizon, en avant le voyage.

Commentaires

Can I kick it ?

Par eclat-de-reves le 1er avril 2013 // 12:47
La Main.



J'ai pas de mots assez forts. Que ce symbole ô combien simple et universel pour te dire à quel point tes deux derniers textes me bouleversent le corps et le coeur.

Quand on rencontre un garçon comme çà, on le lâche pas.
Par Manonbrouillon le 2 avril 2013 // 8:53
La douceur te va si bien.
 

Can I kick it ?









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