20 mai 2013 // 14:10
J'aime la joie toute retenue des mouvement perpétuels. J'aime les moments de plongeon qui redeviennent des ascensions par inertie. Tout comme j'aime les regards gênés à la bibliothèque lorsqu'on souffle trop fort. Les sourires qui suivent après. L'envie de se tendre, de dire à la fille en face qu'elle est jolie, juste pour voir si ça lui met du rose aux joues, puis voir son gars qui débarque, hausser les épaules. Le jour où ça sera mon tour... Je fais non de la tête, me sors ces idées de là du milieu du cerveau, alors que la chaise me fait mal au dos, que les musiques ne sont que gueulardes. Puis je m'évade, je pense à l'odeur des forêts humides, c'est déjà beaucoup. Faudrait que j'arrête les phrases interminables et de m'intéresser à des interviews sans fins de gens trop vulgaires. Mais quand la fête s'arrête, moi, je sais jamais rentrer chez moi et foutre ma tête sous la couette.
Commentaires
Par topinambour le 23 mai 2013 // 10:36
Moi j'aime beaucoup tes phrases interminables...
Can I kick it ?
La discussion continue ailleurs...
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